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Vous pouvez évidemment utiliser un traducteur en ligne.
HOLLANDE et BAUDIS
Quand la Réalité Dépasse la Fiction d'un Film Inachevé
FILM 2 -- SYNOPSIS "MOMENTANÉ"
Rappel du film No 1 en rapport à ce film No 2 :
Après la Découverte par Google d'un Premier Chantage Sexy International
Entre l'Italie et Saint Marin par un Premier Avocat, quel Twitteur
Sauvera-t-il Pietro Cal Victime d'un Autre Chantage Sexy en Italie, par
un Deuxième Avocat de la Même Ville qui a Fait Chanter Aussi un Juriste
en France ? Pourquoi S'est t-il Crée un Brusque Lien Entre le Chantage
Depuis l'Italie et des VIP en France ?
Dont FRANÇOIS HOLLANDE...
* * *
Vous pouvez évidemment utiliser un traducteur en ligne.
Ceci est le "fond de plan" pour vous "immerger" dans les méandres du
"film" No 1 : un sortilège des "temps modernes" qu'un invisible sorcier
a jeté contre un juriste en France, qui hérite d'un appartement à
Conegliano (3 Venises d'Italie).
Vous pouvez lire le synopsis du "film" No 1 avant de parcourir cette autre "histoire" vraie No 2.
Le sexe est le "décor" commun des deux "films" que le maléfice projette
en arrière plan et tout autour des mésaventures du couple de Georges et
Denise... Mais pourquoi donc tant de "coïncidences" troublantes
??...
De toute évidence, le grand sorcier qui coordonne et agite ses
marionnettes dans ces deux "histoires" vraies s'ennuie terriblement...
Car l'action des deux "films" qui se déroulent parallèlement
s'essouffle...
Il décide alors de créer un électrochoc pour obliger d'autres acteurs
très importants à rentrer en scène... Et il crée ainsi un lien direct
et immédiat entre ces deux scénarios apparemment distincts !...
L'électrochoc du grand sorcier fait évoluer les deux "histoires" en
janvier et février 2013 par l'entrée en scène d'un un acteur italien
qui – grâce à la puissance de Google – établi le lien avec l'
"histoire" parallèle qui se déroule en France.
Le sauvetage de Pietro Cal est la première urgence pour l'instant... Et
il faut trop de temps à ce jour pour retracer entièrement aussi la
trame de ce deuxième "spectacle mélodramatique"...
Ainsi sont abordés aujourd'hui seulement quelques une des "projections"
fugaces de l' "histoire" vraie qui a commencé en France en 1996
(4-20-16), et se poursuit jusqu'à ce jour par un empilement de "poupées
russes" ou s'entremêlent (aussi...) des VIP tout au long du temps qui
s'écoule.
Le script à venir, va aboutir à un "festin éditorial" pantagruélique
d'une abondance exceptionnelle... et à soulever des questionnements sur
des zones d'ombre comportementales pour le moins curieuses des
interprètes (VIP...) de ce deuxième "spectacle"...
Les marionnettes qui peuplent ce deuxième "film", sont animées par
un "sorcier" qui, apparemment, n'aime pas les enfants,
contrairement au couple... puisque il lui inflige des tourments
qui confluent à des situations assurément hors du commun.
Faute de temps, plusieurs de ces circonstance sont "zappées" pour l'instant...
SYNOPSIS DE CE "FILM" No 2
"Sautons" aujourd'hui directement à l'époque de 2004, là ou démarre le
"film transalpin" (No 1), au moment ou le couple décide de vendre sa
maison pour s'installer en retraite en Italie...
Pour cela, il partage en deux la zone de terrain qui peut être cédée
indépendamment de la maison qu'il habite, sans imaginer que le
sorcier décide d'anéantir subtilement son projet... Car le "film" doit
se dérouler ici... et maintenant... En France...
Aux marionnettes déjà "engagées" sur scène, trois acteurs majeurs de
cette séquence s'ajoutent dans ce "raccord de pellicule", intercalé
entre les précédentes et les suivantes, indicibles à ce jour.
Le spectateur va découvrir plus tard avec "délectation" l'habileté
diabolique par laquelle le sorcier marionnettiste manipule les acteurs
(dont certains des VIP de "grande stature"...) qui évoluent dans un
décor peu reluisant...
Le premier acteur a l'allure d'un "gentilhomme" sur la soixantaine et
croise la route du couple..., justement en quête permanente de terrains
à bâtir... Il mène sa "petite" danse et joue lui même le marionnettiste
des deux autres "artistes" qu'il va faire rentrer dans le "film"...
Puisque le couple souhaite conserver intact le parc arboré aux abords
de la maison qu'il envisage de vendre, il se présente alors à
eux, comme un fervent adepte de la conservation de l'environnement...
Et il arbore et revendique "officiellement" savoir construire des "Bati"ments dans la "Tradi"tion...
Les "Bati"ments sont sortis du sol. Hélas, bien après cela, le couple
s'aperçoit que le "gentleman" a déjà joué le rôle d'Arsène Lupin, car
il maitrise l'art de très bien "rouler dans la farine" ses victimes...
Mais c'est trop tard... (Et trop long à ce jour de dérouler l'autre séquence encore en cours...)
Le deuxième "artiste" imposé dans le casting par le "gentilhomme", est
une jeune "girouette" influençable au gré du vent, en quête de son
"mentor spirituel" qu'elle va justement découvrir à quelques mètres de
sa future demeure...
Cette "créature – mentor" devient l'icône de la "girouette" car c'est
un manipulateur combinard... Elle a déjà grandement impressionné la
pellicule qui précède – et les scènes qui vont suivre – et se
fait un malin plaisir d'aider aussi le "gentleman" à créer
artificiellement et attiser les inimitiés des deux nouveaux arrivants
envers le couple – qui est pourtant tranquille.
Le troisième "artiste" est un véritable comédien professionnel... Bien
que toujours très souriant, il ne parvient pas à tromper le
couple, – contrairement au "gentilhomme". Un malaise impalpable
se manifeste dès l'installation du comédien dans sa maison à quelques
mètres du couple, car celui-ci ressent fortement sa "subtile"
clairvoyance à son égard...
Le comédien fait pourtant des "efforts" pour masquer son jeu aux yeux
de tous : au couple qui lui a cédé la parcelle, et à la famille
qu'il connait déjà depuis quelques années, et qui lui rend visite
régulièrement et de plus en plus souvent avec ses trois enfants dont
deux en bas age...
Mais manque de chance, le destin ne favorise pas le comédien qui ne
parvient pas à garder longtemps son grand secret sexuel...: un penchant
incorrigible pour les enfants...
En effet, quelque chose agace énormément son "atmosphère" dès le début du nouveau contexte environnant …
À chaque fois que les deux plus jeunes enfants de cette famille lui
rendent visite, ils insistent toujours pour aller chez le couple voisin
dès que possible, été comme hiver, plutôt que rester chez lui...
Il craint alors justement que le secret de son "attirance" soit révélé,
puisque la vérité sort souvent de la bouche des enfants...
Le comédien confie d'ailleurs un jour au couple par "hasard" sur un
sujet innocent et anodin, qu'il "se méfie" justement du plus jeune des
trois enfants... Car justement cet adorable "petit bout de choux" est
très observateur du moindre détail, et plutôt "pipelette" du plus petit
"événement", des jeux, ou objet d'amusement ...
>__
NOTA AU SCRIPT __<
A ce jour, les séquences précédentes ne peuvent pas être transposées
dans ce passage du "film" par manque de temps. Ceci est un extrait TRÈS
ÉDULCORÉ contenu dans un acte officiel... Il vous dévoile partiellement
des motifs indicibles à ce jour...
"Le couple gravement diffamé était en effet tétanisé à l'idée de se
retrouver dans la même situation qui les a meurtris et torturés au plus
profond d'eux depuis trop longtemps par le véritable terrorisme
judiciaire[...].
C'est pourquoi ils se sont ainsi très soigneusement abstenus de
réitérer la même "erreur" commise en 2001 en ne signalant surtout pas a
nouveau dès 2005 aux services de gendarmerie leur conviction quant aux
actes de pédophilie qui intervenaient a seulement huit mètres de leur
maison !!!"
(Équivalent en terminologie de M. Baudis = "«ce que ressent quelqu'un qui est broyé par les engrenages du système...»").
Cette réalité a généré ce que l'on appelle trop pudiquement un
"dysfonctionnement" qui a conduit un des trois enfants a subir les
actes de pédophilie durant toutes ces SIX ANNÉES !...
>__ FIN DE NOTA DU SCRIPT __<
Dans l'attente de découvrir les mystérieuses "coïncidences" dans un
prochain "épisode" de ce "film", c'est ici qu'entre subtilement
dans la scène un acteur qui est déjà "programmé" depuis longtemps par
la force du destin a y rester, car il y est "condamné" par le sorcier
scénariste ...
C'est un personnage extrêmement important qui est rien moins que
l'ancien Président du CSA, à savoir Monsieur Dominique BAUDIS...
Les meilleures mémoires remémorent certainement cet "acteur" qui se
proclame publiquement au "prime time" le dimanche 18 mai 2003 au
journal télévisé de 20h de TF1, être la victime d'une « effarante
machination » http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Alègre
Il écrit
un livre et revendique aussi comprendre les autres êtres meurtris et
broyés par la "justice"...
Le motif qui pousse le couple à s'adresser – le 27 janvier 2005 – à cet "acteur" (le plus influent de cette année là), est le "rêve"
d'obtenir son appui car cette personnalité se considère comme "écrasée"
dans une précédente "histoire" vraie qui implique – selon les résultats
de Google –, encore des enfants...
A cette époque là (2005...), un destin facétieux, crée – comme
par ensorcellement–, les "liens subtils" entre l'acteur et le couple :
1. la diffamation écrasante infligée par le destin, à la fois au couple, et l'acteur ;
2. les situations communes qui impliquent des enfants...
Mais le rêve escompté ne se réalise pas... Car déjà à cette époque, M.
Baudis n'entreprends aucune démarche en réponse à la demande du
couple... Et le "film" peut alors continuer encore... et
encore..., car les "phénomènes" sont très têtus... voir
obsessionnels...
Les années passent aussi pour l'enfant de la famille "en visite"
fréquente: il grandit petit a petit, et il ne supporte plus – comme le
couple – la situation "fusionnelle" infligée par le comédien.
C'est à ce moment là que l'adjectif "fusionnel" – selon lui – se révèle ... suite à la plainte déposée par l'enfant lui même.
Le sorcier décide que doit surgir dans cette séquence du "film"
l'incarcération du comédien, qui intervient – enfin – seulement le 20
avril 2011...!
Mais en revanche le scénariste – qui anathématise le couple –, décrète
que cette délivrance partielle, est une petite miette en obole qui ne
doit pas empêcher la continuation du "film" : "The show must go on..."
Car – encore et encore de nos jours –, n'est toujours pas
brisé l'ensorcellement du couple, puisque les événements (en
poupées russes de plus en plus emboitées) l'emprisonnent dans un bagne
sans barreau, "a ciel ouvert" mais étouffant – depuis bien plus de
treize années.
Le non "hasard" veut qu'en fin octobre 2012 le couple découvre – après
modification de la Constitution – que le personnage D. BAUDIS est
devenu officiellement le "défenseur des droits"... notamment, de
ceux de l'enfant...
A ce moment du "film" l'acteur semble incarner – encore plus que jamais
aux yeux du couple – le rôle adéquate que le sorcier invisible lui a
destiné dans cette séquence...
Et le couple relève une déclaration de l'ancien journaliste et ex maire de Toulouse à la radio Europe No 1. Voici un exemple parmi d'autres, repris par "La dépêche" :
http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/07/1123692-dominique-baudis-la-justice-ne-se-rend-ni-dans-les-redactions-ni-au-cafe-du-commerce.html
M. Baudis a dit avoir pris "«comme une épreuve de la vie»" sa propre histoire...:
"«Je considère que cette épreuve me permet de mieux comprendre, dans la
fonction qui est la mienne depuis quelques jours, ce que ressent
quelqu'un qui est broyé par les engrenages du système... On est
davantage dans l'empathie avec des gens qui souffrent, parce qu'on sait
ce qu'ils peuvent ressentir»".
Le "rêve" inculqué par le sorcier, peut alors reprendre le dessus
encore plus fort que jamais... mais seulement jusqu'en janvier 2013, la
ou il va être brisé...
Le couple s'adresse a lui – pour la deuxième fois – dans un très épais
mémoire, et lui rappelle qu'il doit "neutraliser le sortilège" qui
semble l'envelopper avec eux, car les liens subtils – remémorés – ne
lui sont plus tout a fait nouveaux...
A ce moment là, il bénéficie (encore...) d'un aura certain aux yeux du
couple. Mais celui-ci ne sous-estime pas non plus la tache ardue qui
l'attend, et lui insère subtilement une allégorie prémonitoire, – comme
le fait un "souffleur" de théâtre sur la scène.. :
"Nul doute que le "hasard" machiavélique a forcement déjà choisi ses
meilleures marionnettes qui se produiront dans la vaste hallucination
collective déclenchée par d'autres images d'une tout autre réalité plus
récente…"
Et dès lors, est évoqué à l' "acteur" la nécessité d'engager – en
outre – une salutaire "opération main propres"... La suggestion est
tout aussi prémonitoire..., puisque reprise ensuite (enfin...)
par une dame de grande renommée...
Mais pas du tout dans le même
domaine !...
Bref... tout va mal partout !...
Mais jusqu'où le sorcier veut il faire confluer les destinées des marionnettes ??
Car un VIP commun dans le sortilège, fait aboutir à cette "tirade" – très raccourcie – qui en dit pourtant long ...
Éva Joly demande solennellement à Hollande une "opération mains propres" [AFP 23/03/2013]
Le "signal" est bien reçu par l' "acteur" en octobre 2012, mais n'est pas "compris" correctement...
Malgré la persuasion déployée et la véhémence des faits réels décrits,
– qui dépassent la fiction –, l'acteur se rebelle... Il ne veut pas
entrer en scène à nouveau et démissionne de son rôle, mais garde sa
haute "fonction" au sommet de l'institution...
Après avoir initialement signé personnellement un avis condescendant,
l'acteur "sous-traite" à une autre marionnette la tache peu glorieuse
de se déclarer finalement "incompétent" en matière des droits de
l'homme et des enfants...!
Les "scènes" de ce script provisoire ne sont pourtant que la partie émergée de l'iceberg qui lui a été soumis...
Car, – comme dans le "film" transalpin – il n'y a jamais deux sans
trois...
Et parce que le "rêve" escompté ne se réalise toujours
pas..., le "film" peut alors continuer encore... et encore...
puisque vous lisez justement cette scène...
Mais la différence maintenant est de grande taille :
M. Baudis est pris à témoin en 2005 et 2012 par le couple, pour des
faits de plus en plus graves pour les endiguer, comme lui même a fait
lorsque il a pris publiquement à témoin le peuple français dans la
"messe" du 20 heures :
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/les-dessous-de-l-affaire-baudis_495280.html
"Vérification faite, il décide de prendre les devants et de dévoiler
lui-même l'affaire. Il informe alors le président de la République de
sa décision. "Tu as raison. Ça c'est du panache, tu prends le taureau
par les cornes", le félicite Jacques Chirac. Et, le 18 mai, il s'invite
au 20 Heures de TF 1 pour annoncer à la France stupéfaite "qu'il veut
prendre la calomnie à la gorge". Une bombe atomique médiatique. C'est
la première fois qu'une personnalité politique prend la décision
d'annoncer elle-même qu'elle est mêlée à une affaire de viols lors de
séances sadomasochistes... "
Le lecteur attentif, observe sur les captures écran du résultat Google qu'après tant d'années :
Les mémoires ne sont pas encore prêtes de s'estomper sur l' "affaire"
qui concerne l'actuel "défenseur des droits"... puisque une vidéo du 28
février 2013 la rappelle encore... et encore... le "collant" comme une
"malédiction" indécrottable... ;
Il y a encore des nombreuses "Recherches associées à 'BAUDIS' sur le
fameux moteur, qui font état d'éléments très "intéressants" pour les
"préposés aux travaux"... ;
L'actuel "défenseur des droits" est très attaché à "la liberté
d'expression", puisque il a "conclu" la journée des "tables
rondes" consacrée à celle ci à la Faculté de droit...[FR3 Limousin]
Les blogueurs "avisés" savent que parmi les plus "illustres", il y en a
un qui a co-écrit un livre intitulé "Et si on jugeait les juges ?". Le
"hasard" veut que parmi les avis de ce blogueur, on lise celui-ci
:
http://www.philippebilger.com/blog/2011/07/plus-un-pur-dans-la-france-den-haut-.html
"Plus un pur dans la France d'en haut ?
…
Dominique Baudis a été nommé il y a peu Défenseur des droits par le
président de la République. Il n'a pas fallu attendre longtemps - ce ne
serait qu'une partie d'un comportement général discutable !- pour
apprendre que dans sa précédente charge à l'Institut du monde arabe
(IMA), 36 000 euros de frais professionnels non justifiés avaient été
relevés par l'Urssaf.
...
Tout de même, Dominique Baudis Défenseur des droits, aujourd'hui je
tique à cause des devoirs qu'il a au moins négligés ! Plus un pur dans
la France d'en haut. C'est triste comme un désert sans oasis."
08 juillet 2011 dans Actualité, Justice, Médias, Société - Lien permanent"
FIN DU SCRIPT [MAIS PAS DU FILM...]
* * *
AVIS DE RECHERCHE D'INTRIGUES
POUR LES SCÈNES SUIVANTES...
La réalité dépasse la fiction, et tout ne peut etre dit... pas encore... S'impose alors une suite et
fin "somptueuse"... A la "grandeur" des personnages qui étofferont le
casting ...
Le banquet éditorial pantagruélique sera servi aux convives au fur et a mesure qu'ils s'inviteront...
Au vu des "dysfonctionnements" sous-jacents aux faits a peine
esquissés, pourquoi les "préposés aux travaux" ne se questionneraient
ils pas sur telle étrange défaillance par la plus haute autorité
constitutionnelle ?
> Pourquoi le DdD n'a-t-il pas transmis au Président HOLLANDE et à la
Chancellerie (Garde des Sceaux) – comme il en avait été requis – les
éléments de fait et de droit que la loi ad hoc lui imposait de
communiquer ??
> Pourquoi le conseiller personnel du Pdt HOLLANDE, saisi incidemment
suite a la défaillance de M. Baudis, n'a-t-il pas pas au moins transmis
– en simple formalité –, une des réponses type habituellement adressées
aux "requérants"??...
Court extrait de la LRAR du 17 janvier 2013 accompagnant le mémoire pour le Pdt Hollande :
"Bien malgré nous, et avec tout le respect du à votre rang statutaire,
vous allez être confronté au respect des engagements exprimés
lors du premier discours à Tulle à 21h30 en tant que Président de la
République ("au pied de la cathédrale"). L'opinion publique vous
observera à l'œuvre concrète, cette fois ci, "au pied du mur"...
A cette occasion, vous aviez insisté sur vos deux priorités: "Je
demande à être jugé sur deux engagements majeurs: la justice et la
jeunesse".
Selon le suivi postal par internet, cette LRAR a pourtant bien été reçue le 18 janvier 2013.
> Pourquoi messieurs HOLLANDE et BAUDIS se fondent parfaitement à l'unisson dans la léthargie et l'inaction la plus absolue ??
> Que cache cet étrange consensus dans l' OMERTÀ ??
> Faut il que les "Twitteurs" (ou les média?...) les questionnent
publiquement sur leur saisine (ou non) de la Chancellerie – Garde des
Sceaux ??
> Quels autres VIP se dissimulent ils sous l' "intrigue" de ce "film"?
> Quels "préposés aux travaux" ou "Twitteurs" participeront ils au "festin ensorcelé" ??
> Comment va-t-elle évoluer l' "intrigue" de ce "film" ??
> Quels autres "Pinocchi" ont-t-ils été désignés par le sorcier pour suivre le même chemin final du "comédien" (en prison) ??
L'acteur italien étant intervenu en février 2013, celui ci a donc forcé à briser – par la même occasion – le long silence de ces deux "acteurs" français …
A suivre...
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